mercredi, juillet 02, 2008

LIBERARON A INGRID

photo de la newsletter du_3_juilet_2008_ Le 2 Juillet 2008 l'armée nationale Colombienne a enfin,elle-meme ,libéré Ingrid Betancourt et 14 otages dont trois Américains ,les Colombiens diraient :tres Estadunenses.Pour une fois,ce ne sont pas des étrangers qui sont intervenus.Comme le dirait Paul Eluard "il faut se libérer soi-meme,soi-meme"...Quand on imagine les connotations négatives du mot "étranger" pour un Colombien, il était temps que l'armée nationale le fasse elle-meme .Le Président Uribe l'a enfin compris !!BRAVO PRESIDENTE URIBE! para esta liberacion y el modo de operar. "Infiltracion y ni un muerto!"BRAVO PRESIDENTE URIBE ! Le 5 Juillet 2008 .Je dirais que dans la fourberie ambiante. La lecture de cette libération n'est pas très claire.Que vient faire Mac Cain dans cette galère? A-t-il demandé la suspension des opérations militaires pour permettre cette libération? Cela voudrait dire qu'il est maitre du terrain.Que viennent faire les Experts Israéliens dans cette galère?(opération Entebbe en Ouganda )? Que vient faire sa Sainteté le Pape dans cette galère ?Est-ce la fin de la théologie de la libération? Est-ce la fin du règne de la contestation paysanne dans ce continent? Madame,vous plaisantez?

2 commentaires:

castor a dit…

Les américains se sentent investis d'une toute puissance quasi divine (peut être y voir le pape, là dedans...) Tout est bon pour la récupérations, des voix, pour une voie !
Quels intérets ? Mais aussi quelle information ? Quelles informations ? Ne sommes nous pas les destinataires d'une information tronquée, manipulée ?
Sommes nous au centre, non d'un gigantesque complot mais d'une pitoyable mascarade ?
Quid de la considération, de la reconnaissance et du respect du citoyen, du sujet que nous sommes ?
Castor

Gilles LAPORTE a dit…

Merci, chère Diplodocus, pour ces questions que, en conscience, nous devons tous nous poser.
Il y a eu l'incontestable souffrance, (et impardonnable pour ceux qui l'ont imposée, d'où et quels qu'ils soient !).
Y aurait-il l'insupportable manipulation dont elle (peut-être) et nous (certainement) serions les victimes ?
Très cordialement.
Gilles